======Auguste Jolly (1797-1869)====== {{:hn:hn.a.jolly.signature.1849.png?direct&400|}} =====Carrière===== * Alexandre Auguste Jolly, né à Paris dans l'ancien XIe arrondissement le 27 floréal an V (16 mai 1797), a été maire de Soisy-sous-Étiolle, aujourd'hui Soisy-sur-Seine, de 1849 à 1853. Il était vraisemblablement franc-maçon, d'après sa signature toujours soulignée de trois points. Veuf à Paris le 3 janvier 1863 de Marie Catherine Virginie Charron, il s'y remarie à 66 ans le 5 avril 1864 à Madelaine Joséphine Huet, 36 ans, et y meurt le 2 avril 1869 âgé de 72 ans. * On lui doit une Histoire de Soisy-sous-Étiolles restée manuscrite. =====Publications===== ====Concernant l'Essonne==== * Auguste Jolly, //Histoire de Soisy-sous-Etiolles// (manuscrit), vers 1860. * Manuscrit conservé aux Archives municipales de Soisy-sur-Seine. * Dont un microfilm aux Archives départementales de l'Essonne sous la cote 1Mi/305/1. ====Autres publications==== =====Bibliographie===== * [[hn:colas|Abbé Eugène Colas]], "{{ :per:hn.colas.1900a.pdf |Histoire d'un village, Soisy-sous-Étiolles}}" (1ère partie), //SHACEH// 6 (1900) 79-104, spécailement pp. 79-80. * //"C'est ce qui semble se produire pour le village de Soisy-sous-Étiolles; c’est probablement la raison pour laquelle, malgré sa re­nommée, il n’a pas eu son histoire. L'Abbé Lebeuf, dans son ou­vrage sur le diocèse de Paris ((//Histoire du diocèse de Paris//, T. XIII, p. 107 et suiv. — Note de Colas.)), lui a cependant consacré quelques pages. Il y a plusieurs années, un amateur passionné de l’art et des souvenirs d’autrefois, M. Jolly ((M. A. Jolly a été maire de Soisy-sous-Étiolles de 1849 au 18 déc. 1853. Il est mort le 2 avril 1869, à l’âge de 72 ans et n’a survécu que d’un an à son père Louis-Charles- Alexandre, originaire de Viguory (Haute-Marne), médaillé de Sainte-Hélène, mort à 96 ans. Son manuscrit est en la possession de son petit-fils, M. G. Allain, actuellement maire de Soisy-sous-Étiolles. — Note de Colas.)), avait entrepris de compléter// |80| //cette notice trop courte; mais son travail est resté manuscrit. Les détails de surérogation dont il l'avait surchargé en rendaient d'ailleurs l’impression bien difficile sinon impossible. On y trouve toutefois des notes précieuses qui peuvent être d’une grande utilité et d’un profit véritable."//