======G. Goddé====== =====Carrière===== =====Publications===== ====Concernant l'Essonne==== {{ :hn:phot.g.godde.1898.etampes.lespiliers.ex01r.png?direct&450 |}} {{ :hn:phot.g.godde.1898.etampes.lespiliers.ex01r1.png?direct&450 |}} {{ :hn:phot.g.godde.1898.etampes.lespiliers.ex01r2.png?direct&450 |}} ====Autres publications==== {{ :hn:phot.g.godde.v1898.montargis.laruedestanneries.ex01r.png?direct&450 |}} {{ :hn:phot.g.godde.v1898.montargis.laruedestanneries.ex01rd1.png?direct&450 |}} {{ :hn:phot.g.godde.v1898.montargis.laruedestanneries.ex01rd2.png?direct&450 |}} {{ :hn:phot.g.godde.v1898.montargis.laruedestanneries.ex01rd3.png?direct&450 |}} * G. Goddé, //Du Développement et du renforcement des images interférentielles// (in-8°, 7 p., extrait des //Comptes rendus du Congrès des sociétés savantes de 1907//), Paris, Imprimerie nationale, 1908. =====Bibliographie===== * //Photo-gazette. Revue internationale illustrée de la photographie et des arts qui s'y rattachent// 12/8 (25 juin 1902) XXII. * "//La Photographie des couleurs simplifiée//, par L. Tranchant. Un volume in-18 avec figures, contenant un jeu d'écrans colorés permettant d'obtenir facilement avec n'importe quel appareil des photographies en couleurs. — H. Desforges, éditeurs, 41, quai des Grands-Augustins, Paris VIe. * "Il existe deux méthodes de photochromie: la méthode directe, due au professeur Lippmann, donna les plus beaux résultats, mais exige un châssis à mercure et sa pratique est très délicate. Néanmoins, en suivant scrupuleusement le mode opératoire décrit par M. Tranchant, il est possible d'obtenir aisément de bonnes photochromies interférentielles: l'auteur nous apprend avec M. Goddé à construire un châssis à mercure très simple, à fabriquer les plaques sensibles, à monter l'épreuve définitive, etc." * //Photo pêle-mêle pour tous, par tous. Revue photographique illustrée// 2 (1904) XI: * "Fournitures photographiques: Goddé, 82, avenue de Clichy." * Anonyme, "Séance générale du 19 juillet 1907", //Bulletin de la Société française de photographie// 23/15 (1907) 329-336 spéc. 335-336: * (...) Il est ensuite procédé à la projection d'un très grand nombre d'épreuves en couleurs (80 environ), obtenues sur les plaques autochromes Lumière, par MM. //Boisard, Chevrier, Ducourau, Gimpel, Goddé, Gossin, Jacquin et Reeb// et par le //Photo-mondain//. * "Beaucoup de ces épreuves étaient fort bien réussies et ont provoqué les applaudissements de l’assemblée; à signaler comme nouveauté les vues de montagnes et de glaciers de M. Jacquin. (...) * E. Wallon, "La photographie des couleurs et les plaques autochromes. Conférence faite devant la Société française de Photographie, le 27 juin 1907", //Bulletin de la Société française de photographie// 23/15 (1907) 336-358 spéc. 339-340: * "(...) Jusqu'ici, les épreuves fournies par la méthode interférentielle ne peuvent être examinées et projetées que par réflexion: peu commodes à obtenir, peu commodes à regarder, elles sont, d’autre part, limitées à des dimensions assez réduites. Nous sommes là en présence d’une magnifique expérience de physique, ayant au point de vue théorique une importance considérable, et fort capable de consacrer à elle seule la gloire de l'homme qui l'a conçue et réalisée. Mais au point de vue photographique, si le procédé peut donner à des opérateurs très habiles — MM. Goddé et Jeulfrain, pour ne citer qu'eux, en ont donné la preuve à la Société — des résultats excellents, il ne les donne pas, même à eux, de façon certaine. C'est la raison, je crois, qui a fait abandonner par MM. Lumière les études qu'ils avaient entreprises dans cette voie. Il est à croire que les travaux poursuivis par M. Lippmann et par divers savants, en France et à l'étranger, apporteront à la méthode interférentielle la simplicité et la sécurité, surtout, qu'il faudrait: ce n'est pas encore chose faite. (...)"