Jane Le Soudier, née le 18 février 1885 au Mans, s'est fait connaître à Paris, tenant un atelier dans le quartier de Montparnasse, comme sculptrice en pierre et en bronze, dessinatrice et pastelliste, notamment dans le genre animalier.

Prix de dessin de la ville de Paris à l'âge de quatorze ans, médaille d'argent de la ville du Tréport en 1908, médaille d'or de la ville de Dinan en 1909, élève du peintre paysagiste Henri Harpignies et du sculpteur animalier Georges Gardet, officier d'académie en 1925, médaille de bronze pour la sculpture à l'exposition internationale des arts de 1925, mention honorable au Salon des artistes français de 1926, prix Montyon et médaille d'or de la fédération française du dévouement en 1935.

Elle est morte à l'âge de 88 ans le 4 avril 1973 à Limeil-Brévannes, commune de l'actuel département du Val-de-Marne mais limitrophe de celui de l'Essonne.

L'Essonne lui doit au moins un dessin du village de Vauhallan où on reconnaît nettement l'église Saint-Rigomer. On lui doit aussi des paysages d'Île-de-France (représentant au moins au moins Clamart et la forêt de Rambouillet).

Dessin du village de Vauhallan, à l'encre noire, peut-être au feutre, 17,5 cm sur 10, daté: “Vauhallan, sept. 1970”. L’œuvre n'est pas signée mais provient d'un lot de plusieurs dessins de sa main dont quelques-uns étaient bien pour leur part signés de son nom au témoignage du vendeur.

Œuvre en vente en janvier 2021 sur le site d'enchères eBay (30€).

Dessin sur calque représentant une tête de sanglier mort traitée au pastel et au fusain, signé “Jane Le Soudier” et daté “Rambouillet 1918”, dimension non précisées.

Œuvre en vente en janvier 2021 sur le site d'enchères eBay (135€).

Bénézit (qui date faussement sa mort de 1976).

Collectif d'internautes, “Jane Le Soudier”, Wikipédia, depuis 2011 (en ligne en 2021).