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Siècle de la campagne principale de construction
12e siècle, 15e siècle, 2e moitié 18e siècle, 19e siècle Le château actuel date de la fin du XVIIIe siècle2.
Le château fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 9 septembre 1965 : sont cités le château et le parc sauf les communs2. Inscrit MH partiellement Date et niveau de protection de l'édifice
1965/09/09 : inscrit MH Précision sur la protection de l'édifice
Château et son parc, sauf ses communs (cad. I 32, 34 à 37, 38) : inscription par arrêté du 9 septembre 1965 Le château de 330 m² avec élévation sur trois niveaux fut construit à la fin du XVIIIe siècle. Il est entouré de six hectares de terrain avec dépendances, la propriété appartenait à cette époque à la famille Saint-Périer. Sous l'occupation, le hâteau de Morigny est occupé par les Allemands et la comtesse de Saint Perrier ne manquait jamais une occasion de faire remarquer à ses hôtes, que dans le vestibule pavé d'une mosaïque gallo-romaine provenant de Sousy la Briche, les carrés de céramique manquants, ont été enlevés par les bottes ferrées des “Nazis”. Derniers vestiges de l'occupation, des portraits grands formats d'Hitler et de Goering, sont restés dans le grenier du château jusqu'à la mort de la comtesse en 1978. Sans héritier direct la comtesse lègue le domaine à la Sorbonne, ce cadeau cher à entretenir est revendu et tombe dans l'escarcelle d'investisseurs privés. Restauré, le site accueille une vingtaine de logements locatifs de prestige.
Le château est légué à la Sorbonne mais est revendu du fait du coût d'entretien du domaine. En 2008, la majeure partie du parc est vendue à la commune3.
Le château 330 m2 sur trois étages érigé fin XVIIIe, des dépendances, 6 ha de terrain appartenait à la famille Saint-Périer. Mais en 1978, sans héritier direct, la comtesse le lègue à la Sorbonne. Un beau cadeau, mais cher à entretenir. En 2004, l'université émet le souhait de s'en défaire pour un coût estimé à 1,5 million d'euros. D'abord intéressée, la commune, menée alors par Dominique Imbault, renonce, faute de moyens.