Né en 1940, Jean-Jacques Immel, titulaire d'un CAP de dessinateur industriel, après 28 mois de service militaire en Algérie, est embauché comme dessinateur industriel en région parisienne par l'entreprise Bouygues. Il intègre plus tard le service patrimoine du Conseil général de l'Essonne. Parallèlement, à partir des années 1970, il participe chaque été à des campagnes de fouilles au château de Monséret (Aude), le village de son épouse.

Ses dernières années sont marquées par une étroite collaboration avec l'historien étampois Jacques Gélis sur le thème de la mort et des rites mortuaires.

Il est mort à Paris 13e arrondissement le 10 juillet 2021 des suites d'une leucémie.

Jean-Jacques Immel, “Essonne. Une peinture murale découverte dans l'église de Sermaise”, Bulletin monumental 145/1 (1987) 109.

Jean-Jacques Immel et , Les lavoirs publics en Essonne (12 p.), Évry, Conseil général de l'Essonne, 2001.

Jean-Jacques Immel, “Aude. — Montseret. Château” (compte-rendu), Archéologie médiévale 10 (1980) 421.

Jean-Jacques Immel, “Aude. Fouilles de sauvetage au château de Montséret”, Bulletin monumental 142/1 (1984) 84-86.

Anonyme, “Jean-Jacques Immel nous a quitté”, L'Indépendant, 19 juillet 2021, en ligne en 20200.

Jacques Gélis, “Jean-Jacques Immel (1940-2021)”, Essonne et Hurepoix 90 (2021) 343-345.