Cette commune ne doit pas être confondue avec celle de même nom qui se trouve dans le département de la Marne.

Première mention en 1175 de la paroisse de (Louans).

Première église (XIIe siècle)

Consécration en 1551 de l'église paroissiale

Modification du nom de la seigneurie en 1693 de Louans en Morangis

Édification en 1701 fut construit du château de Louans

En 1735, le domaine revint à Jean Masson de Plissay, Secrétaire du roi23.

Le 22 juillet 1789, le dernier seigneur de Morangis Joseph-François Foullon est pendu avec son gendre Louis-Bénigne-François Berthier de Sauvigny.

Ouverture en 1850 d'une maison de retraite puis orphelinat par la congrégation de Notre-Dame-de-Lorette dans la maison du Désert.

En 1868, le château Saint-Michel devient une pension puis en 1878 un orphelinat qui sera géré par la congrégation de Notre-Dame-des-Anges jusqu’en 1975.

Construction en 1875 de la première mairie-école.

Ouverture en 1889 d'une école qui remplace l'orphelinat du Désert.

Ouverture en 1894 du tramway de l'Arpajonnais

En 1917, les sœurs de la congrégation de Notre-Dame-des-Anges accueillent des enfants venus de la zone de combat.

En 1921 sont aménagés les premiers lotissements pavillonnaires de la commune.

En 1924, les Sœurs de Saint-Vincent-de-Paul ouvrent une maison de convalescence, transféré aux dominicaines en 1954 jusqu’au rachat par la commune en 1995.

En 1930 s'ouvre une briqueterie industrielle.

Inauguration en 1931 du groupe scolaire Louis Moreau.

En 1936 l'Arpajonnais est remplacé par par un service d'autobus.

De 1940 à 1944 l'armée allemande occupe le château de Louans, incendié à son départ.

La commune est libérée le 24 août 1944 par la 2e division blindée.

Inauguration en 1958 du nouvel hôtel de ville

Inauguration en 1960 de l'autoroute A6.

Création en 1963 de la Zone d'Activité communale25.

Église Saint-Michel (XVIe siècle)

Château de la Borde

Château de Morangis

Château Saint Michel (XVIIe siècle)

Maison du Désert

Parc Saint-Michel

Parc de la Galande

Squares

Plaine agricole

Jean-Jacques de Barillon (…1693…)

Jean Masson de Plissay (1735…)

Joseph-François Foullon (…1789)

(…) — Boilleau (…1921…) — Chaligne (…1925…) — (…) — Albert Diwo (…1965…) — (…) — Claude Bigot (1971-1989) — Daniel Tréhin (1989-2008) — Pascal Noury (2008-2024…).

Morangis en cartes postales

19880081/40 (dons et legs aux congrégations et associations cultuelles, 1900-1982). — (…) Providence de Sens, Établissement Saintry, 1906 (…) Sœurs de Notre-Dame des Anges de Paris. Ets Morangis, 1911-1914 (…).

Roger Colin, Morangis. Seine-et-Oise. Plan topographique au 1:2000 dressé et dessiné en 1945 par R. Colin, mis à jour et dessiné en 1965. Récolement terminé sur le terrain le 15-1-65 (2 feuilles en noir et bistre, 85,5 cm sur 75, 5), Paris, Ministère de la Construction, 1965.

Éditions municipales de France, Morangis. Plan de ville (plan en couleurs, 42 cm sur 70, E 2°19'48“ / N 48°41'56”, ), armoiries, index des rues et des édifices publics, quadrillage de localisation, publicité, au verso une carte des environs de Morangis), Bondy, EMF, 1999.

Jean de Bonnefon, "L'Escamotage d'une communauté", Le Journal 8/2578 (19 octobre 1899) 1.

Michel Boilleau, De Louans à Morangis. Histoire d'un village (31 cm, 191 p., illustrations, bibliographie, ISBN 2-9500593-0-9), Morangis, Municipalité / Ballainvilliers, Renaissance et culture, 1984.

Virginie Amilhat et Daniel Camus, “Morangis”, in Jean-Luc Flohic (dir.), Le patrimoine des communes de l'Essonne (2 volumes, 25 cm, 1053 p., illustrations, bibliographie pp. 1026-1053, index, ISBN 2-84234-126-0), Paris, Flohic, 2001, t. 1, pp. 174-182 et 187.

Collectif d'internautes, “Morangis (Essonne)”, Wikipédia, depuis 2005, en ligne en 2022.

Municipalité de Morangis, Site officiel, en ligne en 2022.