marie.desavoisy
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| + | ======Marie de Savoisy (...1517-1520...)====== | ||
| + | * 32e des [[: | ||
| + | * Autres graphies: en latin //Maria//. | ||
| + | * [[jeanne.allegrin|Abbesse précédente]] — [[marguerite.destouteville|Abbesse suivante]]. | ||
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| + | =====Notule===== | ||
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| + | * Marie de Savoisy, d' | ||
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| + | =====Notice de l' | ||
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| + | * **Chapitre XVI. Marie de Savoisy (1517-1520).** | ||
| + | *//La triennalité. — Marie de Savoisy et Louise de la Baume. — Nombre et noms des professes. — Clôture. — Pierre Touzel. — Observance du XVIe siècle. — Le procureur. — Les frères Budé. — Les curés. — Les chanoines de Notre-Dame à Paris. — Départ de Marie de Savoisy.// | ||
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| + | * Au début de l’année 1517, Marie de Savoisy devint titulaire de la maison, où elle exerçait le pouvoir depuis dix-huit mois. Originaire de la province de Bourgogne, la nouvelle abbesse était probablement fille de Philippe de Savoisy et de Marguerite de Lugny, et sœur de Claude de Savoisy, mari de Louise de la Baume Montrevel, en sorte que Louise de la Baume, adjointe comme collaboratrice à Marie de Savoisy, dans l’œuvre de la réforme, se trouvait être presque son alliée par le sang. | ||
| + | * Dès les premiers jours de sa titularisation, | ||
| + | * Nous ne redirons pas ici les articles de la règle d' | ||
| + | * Elle s'y appliqua avec zèle, et sous son impulsion la maison est bientôt transformée. Les lieux réguliers sont marqués avec soin, personne en dehors des moniales ne les franchit, la clôture est observée: l' | ||
| + | * La charge de confesseur des religieuses est confiée aux Dominicains de Paris; et l'un d' | ||
| + | * La règle de Poncher a divisé les religieuses en trois classes: les professes, les novices et les converses. Cette dernière catégorie ne fut pas représentée immédiatement à Yerres; il faut arriver presque à la fin du XVIe siècle pour voir des converses sous le cloître. Mais un autre élément y fut introduit sans retard. Nos moniales eurent une petite école, et l'une d' | ||
| + | * Ainsi rétablie dans son intégrité et fortifiée par la piété et la ferveur, la vie religieuse refleurit dans la vallée d' | ||
| + | * Entre l' | ||
| + | * Il est encore un point de la règle de Poncher inobservé à Yerres, pour des motifs qui nous échappent: il a trait au procureur. La règle demandait que celui-ci fut un laïque, possesseur de biens-fonds, | ||
| + | * Ceux-ci demandaient toujours une surveillance attentive de la part de l' | ||
| + | * Au premier rang on trouve toujours les Budé. Dans son désir de réclusion, Marie de Savoisy veut à tout prix, avoir pour ses filles, un enclos fermé, vaste et capable de satisfaire à tous les besoins hygiéniques d'une grande communauté; | ||
| + | * Chose singulière et pour nous presque stupéfiante, | ||
| + | * Terminée ou plutôt simplement suspendue pour quelques années avec Budé, la lutte continuait avec les curés de Drancy, de Brie, d' | ||
| + | * L' | ||
| + | * Marie de Savoisy nous a laissé plusieurs actes signés de sa main. Son écriture droite et ferme révèle une personne d'un âge jeune encore, et annonce une femme forte, énergique, née pour les grandes entreprises. Le jour où elle quitta Yerres, le monastère présentait déjà l' | ||
| + | * L' | ||
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| + | =====Documents===== | ||
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| + | =====Sources===== | ||
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| + | =====Bibliographie===== | ||
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| + | * [[hn: | ||
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| + | =====Notes===== | ||
