Corpus Essonnien

Histoire et patrimoine du département de l'Essonne

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Le fief clunisien de Champlan Extrait d'une carte de l'archidiaconné de Josas

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de 1239 à 1789

Novembre 2007

C. Julien

Chronique du vieux Marcoussy

Cette Chronique rassemble les données historiques du fief de Champlan (cant. Longjumeau, arr. Palaiseau, Essonne). Champlan était un prieuré clunisien, c'est-à-dire dépendant de l'abbaye de Cluny, et appartenait au réseau régional dirigé par le prieuré de Longpont, en tant que seigneur ecclésiastique (1). Dans son recueil de recherches, Gabriel Dauphin avait mentionné succinctement les revenus du prieuré de Longpont sur le territoire de Champlan. Nous voulons lui rendre hommage en publiant et complétant ce document.

Les documents anciens

Le nom du village provient de l'existence de platanes qui auraient été planté en ce lieu vers 670. Le village fut nommé “ Campus Pladani ”. En 863, dans une Chartre de Charles le Chauve, Champlan est appelé “ Campiplatum ”.

Champlan se trouve dans les possessions du prieuré de Longpont confirmées par le pape Eugène III dans sa bulle du 21 février 1152 « ecclesiam de Champlant cum attrio et tercia parte de decime et dimidio modio » et d'ajouter « medietatem ville que vocatur Champlant » (la moitié du village de Champlan). Dans les titres du Prieuré de Longpont (cartulaire) on trouve “Champlant”, ou “Champelant” ou encore “Champland”. Le prieuré fut donc le présentateur de Champlan jusqu'à la Révolution.

Examinons encore une fois les chartes du prieuré de Longpont. Vers 1095, Champlan était le fief d'Adam de Milly qui donna tous les droits féodaux qu'il possédait à Camplan « dedit hoc quod habebat apud villam Champlant, in ecclesia, in atrio, indecima, in sepultura, et totam terram censualem quam possidebat ». C'est un homme proche du tombeau qui, avec le consentement de sa femme Elisabeth, ses six fils et ses deux filles, donna tous ses biens ; c'est-à-dire l'église, l'aître « atrium », les dîmes, le cimetière et toutes ses terres avec les droits féodaux attachés (2). Cinq ans plus tard, Arnault de Longjumeau et son fils Duran cédèrent un demi arpent de vigne. Vers 1105, Guy Troussel légua une partie du vignoble de Champlan comprenant son clos de vigne et cinq arpents qui rendaient le cens de cinq muids de vin. Les vignerons sont désignés avec le montant des droits : Odeline mère de Belotin pour 3 muids, Bernard pour un muid et Nantier de Maltraval pour un muid. Le scribe écrivant « pro remedio anime sue » indique que le sire de Montlhéry se préparait pour le jugement dernier.

Vers 1110, Hugues, fils d'Ansold Harpin donna une vigne à nLeuville en présence de Holdier de Champlan. Le 30 septembre, Galeran, fils de Hugues de Palaiseau concéda aux moines de Longpont le patrimoine de sa mère Adélaïde dans le village de Champlan, c'est-à-dire : les serfs et les valets, les terres labourables et les terres incultes, les prés et les vignes, ainsi que le pressoir. Comme de coutume une cérémonie eut lieu à Sainte-Marie de Longpont en présence de nombreux témoins. Le transfert de propriété dans les mains du prieur Henri se faisait par le moyen du bâton de commandement placé sur l'autel « hujus autem concessionis fecit donum in manu Henrici, prioris, per quoddam lignum ». La même année, Guillaume Cochevi était revenu sur ses mauvaises intentions de retenir le legs de ses parents au prieuré. Les biens situés à Champlan comprenaient une hostise, des terres, des vignes, un bois à l'exception des droits féodaux sur le moulin tenu par Radulf Baudus. Puis le même Guillaume Cochevi, pour le repos de l'âme de sa femme Mélisende, donna une hostise de vigne proche du monastère de Champlan et pour son propre salut une partie de dîme qu'il possède à Fontaine.

En 1136, le chevalier Étienne de Massy, surnommé Palmar, déposa sur l'autel de Sainte-le Marie de Longpont, deux sols de cens sur deux arpents de terre à Champlan qui sont tenus par un nommé Baudouin. Cette donation était un obit pour que son frère Guillaumesoit honorablement inhumé. Vers 1140, le chevalier Gui de Massy prit les habits de moines avec une dot constituée par son frère Jean qui consistait en 12 deniers de cens sur un pré à Champlan. Le chevalier Thomas devenait moine à Longpont « seculum relinquens & ordinem monachicum expetens » avec une dot comprenant seize deniers de cens qu'Odeline payait à Champlan, la moitié d'une masure rapportant trois oboles et toute la partie du champart qui appartient à cette masure, avec toute la coutume [justice] de cette terre. Le paiement des redevances s'échelonnait en 5 deniers le jour de la fête de la Vierge et tout le reste à la Saint-Rémi.

Une des dernières chartes du Cartulaire de Longpont (charte CCLXXXVII) contient les noms des censitaires de Champlan payant la redevance au prieuré de Longpont au XIIème siècle « Hec sunt que propria habemus apud Champlant » .

Ainsi le revenu annuel total du cens à Champlan s'élevait à 32 sols 3 deniers au milieu du XIIème siècle. De plus, le prieuré de Longpont possédait deux hostises tenues par Hugues, fils de Frobert et par Cochin. En ce qui concerne le canton dîmier de Champlan outre les redevables, la dîme était perçue sur le pressoir de Longjumeau et le moulin de la Bretèche, dont le seigneur était Frédéric de Palaiseau, pour un demi boisseau d'annone. Simon Galeran devait la troisième part de la dîme d'annone et un demi boisseau. La liste des redevables de la dîme et du champart est donnée dans le tableau (3).

Guy de Palaciolo, chanoine de Paris et de Châlons avait acheté une maison à Champlan en 1231, avec toutes ses dépendances et prairies. A sa mort, il légua tous ses biens à l'Hôtel-Dieu de Paris. Un accord fut établi en 1239 entre les religieux de Longpont et les administrateurs de l'Hôtel-Dieu touchant cette maison et un demi-arpent de vignes. En 1324, les Religieux de Longpont poursuivent leur implantation à Champlan en devenant propriétaire du manoir près de l'église. Les Religieux de Longpont font échange d'une maison qu'ils avaient à Paris, jouxtant l'Hôtel-Dieu, contre la maison, située près de l'église, léguée par Guy de Palaciolo. La maison fut embellie et fut appelée manoir. Cette propriété est la plus ancienne de Champlan. (3).

Le manoir de Champlan

En 1229, un accord est passé entre les administrateurs de l'Hôtel-Dieu de Paris et les religieux de Longpont, par lequel «lesdits administrateurs reconnaissent devoir une somme de 10 l.p. de cens auxdits religieux pour une maison sçise dans la censive de Champlan». La même année, une quittance de 30 livres d'indemnité est délivrée par les religieux de Longpont pour accommodement avec les administrateurs de l'Hôtel-Dieu de Paris.

Guy de Palaciolo, chanoine de Paris et de Châlons avait acheté une maison à Champlan en 1231, avec toutes ses dépendances et prairies. A sa mort, il légua tous ses biens à l'Hôtel-Dieu de Paris. Un accord fut établi en 1239 entre les religieux de Longpont et les administrateurs de l'Hôtel-Dieu touchant cette maison et un demi arpent de vignes. En 1324, les Religieux de Longpont poursuivent leur implantation à Champlan en devenant propriétaire du manoir près de l'église. Les Religieux de Longpont font échange d'une maison qu'ils avaient à Paris, jouxtant l'Hôtel-Dieu, contre la maison, située près de l'église, léguée par Guy de Palaciolo. La maison fut embellie et fut appelée manoir. Cette propriété est la plus ancienne de Champlan. (4).

Vers 1234, d'autres seigneurs tels Simon de Chateron et Mathieu de Marly donnèrent à l'abbaye de Notre-Dame de la Roche des vignes et des hostises « concessio de tribus arpentis vinee et unius hostisie apud Champlant ». A cette époque, Champlan, comme Epinay, était considéré avoir un important vignoble. En 1243, une charte concerne la donation d'un quartier de vigne au terroir de Champlant au lieu-dit les Fontaines.

Le 9 avril 1383, l'aveu et dénombrement fait au roi, en la Chambre des Comptes par les religieux de Longpont pour leur fief de Champlan comporte les articles suivants : une maison, grange, jardin de 2 arpents, plus deux arpents et demi de prés ; 14 droitures valant 9 livres et deux livres de cens ; 8 l.t. 10 s.t. pour le « marquage des vignes assises au Mont entre Champlan et Longjumel » ; un setier d'avoine de rente sur la maladrerie de Longjumeau ; droit de chasse au furet ; et droit de justice.

Le même aveu passé par le procureur de la communauté déclare la possession d'une dîme de 10 setiers de blé à prendre sur le moulin de la Bretèche. Ce moulin à eau sur l'Yvette est dans la mouvance du seigneur de Palaiseau. Jeanne Huart âgée de 43 ans, « meusnière » décédée au moulin de la Bretèche fut inhumée le 26 juin 1687 à Saint-Martin de Palaiseau. En 1754, c'est Jean-Baptiste Oville qui est meunier de la Bretèche où était employé Noël Saulnier.

La gestion du fief prioral

Après la guerre de Cent ans, la réforme clunisienne permit la remise en l'ordre de la gestion priorale. En 1523-1539, le terrier Burgevin concernant les baux à cens du prieuré de Longpont à Champlan compte 179 censitaires possédant 28 maisons, 223 “articles” de vigne, 139 parcelles de terre, 5 de prés et 3 de saussaie. On compte aussi 80 censitaires habitant les environs.

Le 19 mai 1526, la communauté des religieux du Prieuré de Longpont fait un nouveau un bail à ferme pour 5 ans à Pierre Chastenay le Moyen, Jean de Chastenay, Michel de Chastenay et Claude Dubois. L'acte notarié mentionne : « une maison, étable, cave, cour, masure, puits, vignes et appartenance d'environ deux arpents, sise à Champlan près de l'église, plus un quartier audit lieudit terroir La Champagne, plus un arpent de vigne au lieudit Deux-arpents de Vigne. Deux arpens et demi sur la paroisse de Saulx, le tout moyennant 9 septiers de bled mesure de Longpont, six poulets et trois cents livres dix sols de ferme à la Saint-Martin des dites 5 années ». Pour la raison de partage des lots du couvent de Longpont, un second acte est passé le même jour par frère Jacques de Puyvivant, prieur conventuel du prieuré Notre-Dame de Longpont à Pierre et Jean Chastenay, Michel et Jean Chastenay, et Claude Dubois d'une maison et enclos près de l'église de Champlan et dépendances, étant payable le jour de Saint Martin de chacune des dites cinq années .

Le 3 juillet 1579, un bail est accordé à Nicolas Lucas, tailleur d'habits à Champlan. Le 4 juin1600, un bail à cens est accordé à Marceault Lescas, marchand à Champlan. En 1648, Louis Marie et Nicolas Chartier furent inhumés dans la nef de l'église à la suite d'un obit faisant constitution de rentes. Le 19 septembre 1700, le vicaire Gédéon Duret mort à l'âge de 25 ans est enterré à Champlan.

Le 12 octobre 1722, un procès de vu et montré d'une pièce de terre contenant 2 arpents sçise au terroir de Champlan, fait état que sur cette parcelle les serviteurs du prieuré de Longpont « avoit été maltraités pour fait de chasse par les gens du seigneur de Paloisel, quoique ledit est sur ladite terre droit de justice et seigneurie ». Des écritures et moyens fournis par ledit prieur de Longpont contiennent des plaintes et griefs contre ledit seigneur de Paloisel du 4 juillet 1486.

En 1750, Edmée Charles Antoine Houpin est vicaire de Champlan ; le sous-bedeau est Antoine Barre et le bedeau est Marcel Lescard. Le religieux frère Denis dit Duplessis est maître d'école. En 1755, c'est Germain Legros qui occupe le poste de bedeau.

En 1758 commencèrent des pourparlers sur un projet de cession du fief de Champlan par le prieuré de Longpont à Mademoiselle de Sens (5), afin que celle-ci puisse le joindre à sa seigneurie de Villegénis et Palaiseau. Dans sa lettre, le procureur Faucheux précisa que le fief de Champlan contenait environ 200 arpents sur 179 censitaires.

En 1789, les revenus du prieuré clunisien à Champlan s'élevaient à 200 livres tournois. Il avait la moitié de toutes espèces de dîmes (sur le blé, l'orge, l'avoine, le lin, la filasse, la laine mais aussi sur les agneaux, les oisons, les cochons, etc.), sauf sur le vin, et devait payer au curé de Champlan, le tiers du gros, soit quatre setiers de grains, deux tiers en blé méteil, un tiers en avoine. Les moines affermaient toujours ces privilèges avec baux à des particuliers comme on le voit par la suite.

L'affermage des dîmes de Champlan

(anciens baux à loyer du tiers des dixmes sur la paroisse de Champlan – extraits des Titres du Prieuré de Longpont , 1713)

1510 (9 avril). Bail à ferme passé par ledit fondé de procuration, de Messire Guillaume Raguyer, prieur de Longpont (4), à Fiacre Molineau et Jean Autiers demeurant tous deux à Longjumel, de la tierce partie des dîmes de la paroisse de Champlan, ledit bail pour trois ans moyennant 10 septiers de grains, dont quatre au curé dudit lieu.

1523 (16 juillet) – Bail à ferme passé par le fondé de procuration, prieur et couvent de Longpont à Jean de Chastenay le Jeune, laboureur à Champlan, la tierce partie des dîmes de bled, orges, “avoyne, ledit bail pour trois ans moyennant 15 septiers de grains, deux tiers de bled et un tiers d'avoyne.

1540 (9 avril) – Bail à ferme passé par le fondé de procuration de messire Guillaume Régnier prieur de Longpont à Fiacre Moulineau laboureur demeurant à Longjumeau et Jean Aubert, demeurant à Longpont de la tierce partie des dixmes de la chapelle de Champlan, pour 6 années, moyennant 16 septiers de grains, 2/3 de bled, 1/3 avoine.

1545 (20 mars) - Bail à ferme passé par le fondé de procuration de messire Guillaume Régnier prieur commendataire de Longpont à Fiacre Moulineau laboureur demeurant à Longjumeau de la tierce partie des dixmes de la chapelle de Champlan, pour 6 années, moyennant 16 septiers de grains, 2/3 de bled, 1/3 avoine.

1554 (8 janvier). Bail à ferme passé par ledit fondé de procuration, dudit prieur commendataire de Longpont, à Fiacre Molineau «marchand demeurant Longjumel, des dîmes de grains comme bled, orge, fèves, avoyne et vèces, avec la dîme de vin que ledit prieur a droit de prendre au terroir de Champlan, ledit bail pour six ans moyennant 6 septiers de grains, deux tiers bled et un tiers avoyne, mesure de Longpont, outre et pardessus 4 septiers de grains faisant partie du gros du curé dudit Champlan, le tout payable chaque an à la Saint-Martin d’hyver» (7).

1579 (10 juillet) - Bail à ferme passé par le procureur du prieur commendataire de Longpont à Nicolas Lucas, tailleur d'habits, demeurant à Champlan, bail pour une année moyennant les charges portées par un bail passé entre lesdites parties par devant Bois-Neuf, notaire

1612 (28 mai) - Bail à ferme passé par le fondé de procuration du prieur de Longpont à Denis Berthaut, vigneron demeurant à Longjumeau. Ledit bail pour six ans, à charge de payer le gros du curé de Champlan et au prieur 42 livres et un chapon gras.

1626 (1er mai) - Bail à ferme passé par le procureur du prieur de Longpont à Denis Berthaut, vigneron demeurant à Longjumeau, des dîmes de la paroisse de Champlan. « ledit bail pour six ans, moyennant 4 septiers de grains au curé dudit lieu [Champlan] et audit prieur 48 livres par an ».

1640 (10 juin) - Bail à ferme passé par le procureur du prieuré de Longpont à Jean Meusnier, marchand tonnelier, demeurant à Champlan. Ledit bail pour six ans moyennant 65 livres et de payer le gros du curé de ladite paroisse. Jean Meusnier était marié avec Clémence Broyay.

1686 (6 avril)- Bail à ferme passé sous seing privé par le fondé de procuration de messire l'évêque d'Orléans, prieur de Longpont à Nicola Dormant, marchand hôtelier à Longjumeau des dixmes de la paroisse de Champlan. Ledit bail pour cinq ans à la charge de payer au curé de Champlan une partie du gros et au bailleur 50 livres par an.

1703 (27 septembre) - Bail à ferme passé par le fondé de procuration desdits religieux de Longpont à Pierre Tuillier, laboureur demeurant à Champlan des deux tiers des grosses et menues dixmes de la paroisse. Ledit bail pour six ans moyennant 50 livres par an.

1710 (15 septembre) - Bail à ferme passé par messire Jean-Paul Bignon, prieur commendataire de Longpont à Octave Laisné, serrurier, du gros des dixmes de la paroisse de Champlan. Ledit bail pour six ans moyennant 60 livres par an.

1716 (8 juillet) - Procuration passé par Gilles léger, bourgeois de Paris, au nom et comme procureur de messire Jean-Paul Bignon, prieur commendataire de Longpont à Didier Laisné, voiturier demeurant à Longjumeau. Par laquelle il lui donne pouvoir de la régie des grosses et menues dixmes de la paroisse de Champlan.

1750 (2 mars) - Bail à ferme passé par les religieux de Longpont à messire Charles Gervais Morin de la Pellière , curé de la paroisse de Champlan du tiers des dixmes de ladite paroisse, à charge de payer aux religieux 60 livres par an.

De tous ces baux, on peut évaluer l'inflation continuelle et le poids de ces redevances dîmières si impopulaires avant la Révolution.

Notes

(1) Une seigneurie ecclésiastique possède tous les droits féodaux. À Longpont, le seigneur est une co-propriété constituée par des personnes physiques, le prieur commendataire et la communauté des moines (appelés les Religieux dans tous les actes) et par le couvent lui-même. Les concordats successifs ont réparti les charges et les revenus en menses.

(2) Après la réforme grégorienne (XIème siècle), les droits dîmiers ont été abandonnés par les laïcs pour revenir dans le giron de l'Eglise.

(3) Rappelons que sous l'ancien régime, le champart est un impôt seigneurial, prélevé en nature, proportionnel à la récolte, oscillant entre 1/12 à 1/6. Il était prélevé après la dîme due au clergé. Le couvent de Longpont, seigneur ecclésiastique, prélevait à la fois dîme et champart dans ses censives.

(4) Extrait de l'Histoire de Champlan (site web de la commune).

(5) Elisabeth-Alexandrine de Bourbon (1705-1765), appelée M elle de Sens était la sœur du prince de Condé.

(6) Il semble que la date de cet acte soit erronée, car Guillaume Raguyer ne devint prieur de Longpont qu'en 1534.

(7) Le “gros” est le revenu fixe d'une cure, par opposition au casuel. C'est aussi le revenu qu'un chanoine tire de sa prébende, par opposition à la distribution manuelle.

dagnot/chronique07.03.txt · Dernière modification: 2020/11/11 02:34 de bg