Corpus Essonnien

Histoire et patrimoine du département de l'Essonne

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Catherine-Charlotte d'Angennes de Rambouillet (...-1691)

Notule

  • Catherine-Charlotte d'Angennes de Rambouillet, d'abord religieuse de l'abbaye de Pont-aux-Dames au diocèse de Meaux, fut la quarante et unième abbesse de Notre-Dame d'Yerres de 1637 à 1670.

Notice d'Alliot

  • Chapitre XXII. (…). — Catherine-Charlotte d'Angennes de Rambouillet (1670-1691).
    • (…). — Charlotte lui succède. — Aveu au roi. — Réparation et ornementation de l'abbaye. — Achat de la seigneurie. — Fléchier à l'abbaye. — Dévotion au Saint Sacrement. — Les dernières années. — Les épreuves et la mort. — Œuvre des dames d'Angennes.
  • (…).
  • Charlotte-Catherine d'Angennes succéda à sa sœur et continua son gouvernement. C'était une femme grave sous tous les rapports. Elle était âgée de 47 ans, et comptait plus de trente années de vie religieuse, ayant fait profession à 16 ans. Cette maturité ne l'empêcha pas de se livrer aux entreprises les plus hasardeuses et les plus critiquables.
  • Aussitôt après sa prise de possession, elle fit au roi une déclaration des biens de sa communauté. Comme les précédents, cet aveu est assurément incomplet: il enfle les charges et amoindrit les recettes; tel quel, il permet néanmoins de voir que la prospérité rentrait peu à peu au monastère depuis les évènements de 1653 1).
  • Charlotte d'Angennes mit également la dernière main a des |240 travaux entrepris sous l'administration de sa sœur. Les bâtiments conventuels, édifiés cent cinquante ans auparavant par Madame d'Estouteville, avaient subi bien des assauts depuis lors, et les remaniements, opérés par Mesdames de Luxembourg et des Ursins, les avaient plutôt ébranlés que consolidés.

  • D'importantes réparations y furent faites par les Dames de Rambouillet. Charlotte s'occupa spécialement de la chapelle dont elle fit disparaître les dégradations. Le portail en fut profondément modifié. Sur une façade renaissance elle placarda des ornements du style de Louis XIV, au milieu desquels se lisait la date de 1670. Puis comme elle avait sur les royales origines de l'abbaye les mêmes idées que ses devancières, elle fit graver de chaque côté de la statue de la Sainte Vierge, placée au-dessus de la porte d'entrée, deux écussons: l'un de France, surmonté de la couronne royale; l'autre ne fut historié que plus tard; enfin dans le portail même, l'écusson des Rambouillet, sommé d'une couronne de marquis, dans laquelle passait une crosse d'abbesse. À l'entrée principale du monastère, une inscription apprenait aux passants que l'abbaye avait été fondée par Louis le Gros en personne, pour des religieuses Bénédictines 2). Comme on le voit, grâce aux singulières recherches de du SaussaY, consignées dans une lettre à Charlotte d'Angennes, et datée de Toul, on avait marché depuis le temps de Madame des Ursins. Pour mettre tous les signes extérieurs d'accord avec l'enseignement reçu, on brisa l'ancien sceau de l'abbaye, devenu trop simple. Depuis l'origine les armes étaient d'azur, à la Vierge mère couronnée et portant l'enfant Jésus; au contre scel, un écu rond, chargé d'une crosse d'abbesse accostée de deux fleurs de lys. Les nouvelles armes furent de France et de Navarre, accolées à l'écusson de la titulaire en charge; et bientôt |243 toutes les pièces manuscrites furent timbrées de ce pompeux écusson, à la manière moderne.
  • Pendant que ces travaux d'ornementation s'exécutaient, Charlotte d'Angennes sollicita, du nouvel archevêque de Paris, dont elle se disait indépendante, la permission de sortir de son cloître, pour traiter plus aisément dés affaires de sa communauté. Monseigneur de Harlay n'était pas très sévère sur la clôture; la permission fut accordée, et voilà notre abbesse, accompagnée de Catherine Salantin et d'une autre moniale, à Paris pour plusieurs mois.
  • Quelles étaient donc les affaires si importantes, qui nécessitaient la présence à Paris de Madame l'abbesse et de ses deux compagnes? Pour l'entendre, il faut reprendre les choses d'un peu plus haut.
  • En 1638, Charles de Valois, duc d'Angoulême, avait érigé à Yerres un nouveau fief, la Grange du Milieu, en faveur de Duret de Chevry. A la même époque, la seigneurie d'Yerres, morcelée entre les nombreux héritiers Budé, s'était reconstituée en une seule main, et appartenait en 1669 au sieur Burin, écuyer. Ce gentilhomme fit de mauvaises affaires; la terre fut saisie entre ses mains, mise à l'encan et achetée par M. de la Briffe, qui pouvait bien n'être qu'un prête-nom. Car, en voyant la seigneurie aux enchères, une idée grandiose avait germé dans la tête des deux dames de Rambouillet; elles avaient rêvé de devenir dames d'Yerres, sous le double rapport spirituel et temporel, et d'accrocher à leur crosse abbatiale, trop simple à leurs yeux, la couronne territoriale de l'antique seigneurie d'Eustachie de Corbeil, des du Donjon, des Courtenay et des Budé.
  • Nous ne savons par quel artifice légal, le domaine d'Yerres, acquis d'abord par le M. de la Briffe, fut vendu de nouveau, et acheté, par sous-seing privé, au mois d'octobre 1671, par Charlotte d'Angennes et ses deux compagnes, de compte à demi avec un sieur Bizet de la Barroire, pour l'énorme somme de 120.000 livres.
  • Voilà Charlotte d'Angennes qui, réalisant une des folles pensées de sa sœur Claire, est devenue dame temporelle d'Yerres. Il s'agit maintenant de régulariser cette situation. |244 Le marché est approuvé, le 13 août 1672, par Guillaume de Lestocq, docteur en théologie de la maison de Sorbonne, visiteur et supérieur de l'abbaye d'Yerres. Les moniales, au nombre de vingt-trois professes, réunies sous la présidence d'Anne de Marie, leur doyenne, ratifient aussi le marché et donnent, procuration à l'abbesse, toujours à Paris, pour passer le contrat.
  • À cette occasion, on dressa un mémoire explicatif et justificatif de cette coupable acquisition. Il y est dit que les revenus du domaine sont considérables et faciles à recueillir; que par cet achat, on évite un coûteux procès avec les habitants de Brunoy, au sujet d'un chemin, et d'autres procès toujours renaissants avec divers particuliers, à Yerres et à Montgeron.
  • Ce n'était pas tout d'acheter la seigneurie et de devenir la dame d'Yerres. Il fallait payer, et ce fut là que les difficultés commencèrent. Charlotte d'Angennes dut recourir aux emprunts onéreux et aux ventes du domaine. Ses premières opérations portèrent sur la maison de Paris. Elle fut vendue 24.000 livres aux Religieux de Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie, parce que, dit le mémoire destiné à justifier cette vente, le prix était convenable et avantageux, et que d'ailleurs cette maison était humide, fréquemment envahie par l'eau, demandait beaucoup de réparations. Avec l'ancienne législation, quand on vendait un fief, on se dessaisissait bien rarement de tout le domaine; il restait toujours quantité de droits féodaux, dont le vendeur gardait la jouissance. Ce fut ce qui arriva dans cette circonstance, et par la suite de nombreux procès naquirent de ce contrat, entre l'abbaye et les acquéreurs.
  • Madame de Rambouillet emprunta, pour payer ses acquisitions, des sommes assez rondes aux Religieuses de la Visitation, aux Sœurs Augustines de Chaillot, à d'autres communautés et à divers particuliers. Tous ces prêteurs revendiqueront plus tard, avec âpreté, leur argent, qu'ils auront peine à recouvrer. En attendant c'est l'époque des procurations, des contrats signés à la grille de l'abbaye par toutes les moniales, présidées par leur prieure Lucrèce du Raiz, qui régit la |245 communauté pendant les absences prolongées de l'abbesse. De 1671 à 1674 on ne passa pas moins de quarante ou cinquante de ces actes: ventes, achats, échanges, transactions avec les sieurs de la Barroire, de la Briffe, et M. le Camus, maintenant propriétaire et seigneur de la Grange: le tout à la plus grande joie des notaires sans cesse sur la route de l'abbaye, avec leurs minutes et leurs grosses. Au milieu de leurs grimoires, ces tabellions nous apprennent que Charlotte d'Angennes résidait le plus souvent à Paris, tantôt chez les Religieuses du Calvaire, rue Neuve-Saint-Louis; tantôt à l'Hôtel de Rambouillet, rue Saint-Thomas-du-Louvre, où elle s'établit presque à demeure, pendant la majeure partie des années 1673 et 1674; que durant ce temps, la prieure maintenait une stricte régularité au monastère, où il y avait jusqu'à vingt-cinq et vingt-six professes; et que l'abbaye avait deux prêtres: Jean Ollivier, confesseur des moniales, et Claude Jamet, leur chapelain.
  • De temps à autre. Madame de Rambouillet se dérobait à ses occupations de Paris, pour venir à l'abbaye. Le 2 janvier 1672, elle présida, avec sa sœur, l'abbesse de Saint-Étienne à Reims, une cérémonie religieuse, dans laquelle Fléçhier prononça l'oraison funèbre de Julie d'Angennes, duchesse de Montausier, leur sœur; ce qui attira à Yerres un grand concours de gens du monde, et de la plus haute société.
  • Les affaires d'ordre temporel réclamaient aussi parfois la présence de l'abbesse. Au mois d'octobre 1674, elle loua, pour la somme de 4.000 livres, sa nouvelle acquisition du château d'Yerres à Florent Boursault, son procureur. On fit à cette occasion une description minutieuse et détaillée de tous les appartements de la demeure seigneuriale, qui était pourvue d'une chapelle particulière 3). Charlotte d'Angennes se réserva soigneusement les droits de justice, haute, moyenne et basse, et nomma un prévôt et des sergents pour les exercer. Elle vendit un peu plus tard une petite portion de bois à Pierre Demorange, secrétaire de l'archevêque de Paris, et |246 possesseur d'une maison de campagne, située entre l'abbaye et les Camaldules.
  • Au milieu de ses préoccupations temporelles, l'abbesse n'oubliait pas le coté spirituel de sa charge, car malgré sa vie agitée, elle était très pieuse. Pour favoriser et développer la dévotion de ses tilles, elle sollicita et obtint plusieurs concessions d'indulgences, la permission de donner un grand nombre de saluts du Saint-Sacrement dans l'église du couvent, alors que la chose n'était pas aussi fréquente qu'aujourd'hui.
  • Elle fut une véritable apôtre de cette dévotion au Saint-Sacrement. Au cours de ses pérégrinations à Paris, elle se lia d'amitié avec Anne de Lorraine, abbesse de Montmartre, toute enflammée de zèle pour Jésus-Christ, dans le sacrement de l'autel. Charlotte d'Angennes, désireuse de faire mieux connaître cette nouvelle forme du culte à ses filles, demanda à l'abbesse de Montmartre une de ses religieuses, pour l'aider à établir cette dévotion à Yerres. “Illustre princesse, Anne de Lorraine lui donna la Mère Anne Mauchon, qui sortit de Montmartre, vint dans notre abbaye et y remplit la charge de prieure 4), pour travailler plus efficacement à la propagation de la dévotion, chère au cœur des deux abbesses.”
  • La nouvelle prieure n'était pas venue les mains vides, son abbesse lui avait donné pour son nouveau monastère, une statue de la Sainte Vierge tenant l'enfant Jésus, de deux pieds de haut. Cette œuvre d'art fut placée au côté droit de la grille du chœur, et chaque mois, la communauté récita un Sub tuum, à l'intention de la donatrice. Après le décès de la Mère Mauchon, le couvent chanta un De profundis au jour anniversaire de sa mort.
  • À Paris, l'abbesse d'Yerres s'était également liée d'amitié avec Marthe Davy, veuve du marquis de Ferrière, qui donna “à vertueuse dame Charlotte d'Angennes” une cassolette en argent, pour servir devant le Saint-Sacrement. Au décès de cette nouvelle bienfaitrice, le couvent dut faire acquitter autant de messes qu'elle avait passé d'années sur la terre; c'est pourquoi elle ajoute qu'elle est née en 1621. |247
  • Parmi les fervents de la dévotion au Saint-Sacrement, attirés à Yerres, notons des prêtres en assez grand nombre: Guillaume Toustain, successeur de Pierre Rabure comme confesseur des moniales, Louis de la Villette, Claude Macé 5) et quelques autres.
  • Toutefois la piété de Madame de Rambouillet ne lui faisait point abandonner ses hautes visées seigneuriales. Il paraît que lors de la première acquisition du domaine d'Yerres, elle n'avait que les deux tiers de la seigneurie, une nouvelle adjudication lui donna l'autre tiers, ainsi que des terres en roture, en sorte que toute cette belle opération lui revint à 209.000 livres. Davantage encore, le fief créé en 1638, à la Grange, l'offusquait; elle voulait être seule et unique dame d'Yerres, sans partage. Elle tenta d'acheter le château pour le démolir; et déjà une expertise des matériaux et de quelques terres indépendantes avait été fixée au prix de 45.000 livres. Heureusement elle ne put mettre à exécution cette dernière folie, et M. le Camus demeura propriétaire et seigneur de la Grange du Milieu.
  • Un homme néfaste servait à Charlotte d'Angennes de conseil secret dans toutes ces entreprises; il s'appelait Alexandre Dumas, était chirurgien de l'abbaye aux gages annuels de 100 livres, et louait en outre la portion des dîmes paroissiales d'Yerres, pour 130 livres.
  • Éprise de sa haute dignité, Madame de Rambouillet voulait être exempte de la juridiction épiscopale. En 1682, Louis XIV nomma, on ne sait pourquoi, l'archevêque de Paris visiteur de l'abbaye. François de Harlay vint donc au monastère pour accomplir sa mission; l'abbesse le reçoit, ne pouvant décemment lui fermer sa porte; mais elle requiert un notaire et fait dresser un procès-verbal de protestation, contre ce qu'elle nomme la violation des droits de sa maison, immédiatement soumise au Saint-Siège. Cette protestation fut peut-être couronnée de succès puisque l'année suivante, 1683, nous trouvons pour visiteur le Père Claude de Sainte-Marthe, de l'Oratoire, nommé par le Pape, |248 et agréé par le roi; car, dit une note des archives, il fallait au visiteur “des Lettres d'attache” du prince, à cause du temporel de l'abbaye.
  • Les dernières années de Charlotte d'Angennes furent employées par elle à se débattre contre ses créanciers, qui devenaient chaque jour plus pressants et plus nombreux. La grande dame était aux prises avec les financiers et les hommes d'affaires. Malgré sa fierté naturelle, elle en était souvent réduite aux pires expédients; ce qui usait ses forces et sa santé, la poussait à fuir l'abbaye, pour aller à Paris chercher un refuge auprès des siens, où elle s'efforçait d'oublier ses chagrins domestiques, chaque jour grandissants. L'année 1690 lui fut particulièrement douloureuse. La mort lui enleva quatre de ses sœurs les plus dévouées: Gabrielle Passavant, Catherine Salantin, sa fidèle compagne, Jeanne Legendre et Clémence de Riberolles.
  • Ces épreuves achevèrent de la briser; elle mourut le 20 mai 1691 après cinquante-trois ans de vie religieuse, et un abbatiat de vingt-un ans accomplis. Son décès n'a pas été inscrit dans les registres de l'abbaye, ce qui fait supposer, qu'elle ne mourut pas au couvent. Comme sa sœur, elle s'était accoutumée à s'en aller fréquemment à Paris, dans différentes communautés, et surtout à la demeure de ses parents, où elle avait un quasi domicile, et où elle rendit vraisemblablement le dernier soupir.
  • L'œuvre des deux dames de Rambouillet à l'abbaye est fort discutable. Toutes deux étaient pieuses et ferventes, c'est incontestable: les exercices de piété, les concessions de reliques et d'indulgences, sollicitées par elles, les associations de prière, la dévotion au Saint-Sacrement sont là pour témoigner de leur zèle et de leur dévotion. Cependant même à ce point de vue si louable de la piété, elles furent indiscrètes; car elles multiplièrent outre mesure les offices, les exercices et les pratiques de dévotion, à tel point qu'on ne les pouvait plus porter, et que bientôt il faudra les réduire. — Quant à leurs entreprises dans l'ordre temporel, elles furent blâmables et condamnables sous tous les rapports. L'achat de la seigneurie fut une faute impardonnable. Il est bien évident |249 qu'à ces filles de grands seigneurs, l'humble crosse des filles de Saint-Benoît ne suffisait pas; le sang aristocratique qui coulait dans leurs veines les poussait, malgré l'humilité des formules employées de temps en temps, à paraître et à être de grandes dames selon le monde. Orgueilleuses et vaniteuses toutes les deux, elles ne comprirent rien à la stabilité monastique, firent litière de la loi de la résidence, passèrent une notable partie de leur temps, sur les routes ou à Paris, sans nécessité suffisante. Pour elles, il fallait être et paraître.

Documents

Sources

Bibliographie

Notes

1)
Note d'Alliot — Cet aveu déclare que l'abbaye possède 12 fermes, louées ensemble 7.775 livres, plus 12 ou 15 muids de grain. (Il n'y est pas question du bail emphytéotique de Sénart, par exemple, ni des redevances, comme les dîmes, les lods et ventes, les droits de justice, les aumônes, les pensions.) —— Avec le revenu, il faut faire vivre 37 religieuses, professes, novices et converses: 2 ecclésiastiques, un jardinier, un garçon, un valet, une servante et quelques autres domestiques, soit un total de 12.600 livres de dépenses. — Les ecclésiastiques ont chacun 300 livres; le jardinier 100 livres; les autres domestiques ensemble 720 livres; le médecin 300 livres; le chirurgien 100 livres; un homme d'affaires 400 livres; les avocats et procureurs 500 livres; les charges d'entretien 2.000 livres.
2)
Note d'Alliot — Voici cette inscription: Veüe de l'abbaye de / Nostre-Dame d'Yerre / fondée par Louis le Gros, / roy de France, pour des / religieuses bénédictines / l'an 1120. En Brie, à 5 lieues de Paris.
3)
Note d'Alliot — Cette chapelle n'est pas mentionnée dans le Pouillé du diocèse de Versailles, de M. l'abbé Gautier.
4)
Note d'Alliot — Ce titre, donné à Anne Mauchon, n'empêcha pas Lucrèce du Raiz de garder et d'exercer la charge de prieure de la communauté.
5)
Note d'Alliot — Celui-ci eut bientôt des procès avec l'abbaye, au sujet des dîmes de Carbouville, dont il était fermier.
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