Ces jetons émis par la Platzkommandantur, c'est-à-dire par le siège du gouvernement militaire local des forces d'occupation allemandes à Étampes, étaient sans doute destinés à contrôler les flux des personnels autorisés sur le site sensible de l'aérodrome militaire de Mondésir (dont il faut rappeler qu'il était situé en réalité sur le territoire de la commune voisine de Guillerval).