Trouvailles paléolithiques et néolithiques

Enclos circulaires avec fosses de l'âge du bronze

Villae gallo-romaines à Guillerville et au bois de Vierville.

Voie romaine (rue du Stade).

Construction de l'église au XIIe siècle

Première mention en 1462 du château du village et de son premier seigneur connu, Guillemot de la Vallée.

En octobre 1628, visite du roi Louis XIII, qui passe une nuit au château sur la route de La Rochelle.

1793-2021 — Histogramme élaboré et mis en ligne par Wikipédia¹⁾.

Église de Saint-Escobille (XIIe siècle)

Château disparu de Saint-Escobille (XIVe ou XVe siècle)

Bosquets

Guillemot de la Vallée (…1462…)

Pierre Le Venier (…1579…)

Le Venier (…1628)

(…) — François Fritteau (1816-1818) — Guillaume Rabourdin (1818-1836) — Lefebvre (1836-1852) — Jean-Louis-Henri Jouet (1852-1856) — Charles-François Lefebvre (1855-1876) — François-Jules Puis (1876-1884) — Ernest-Émile Boivin (1884-1896) — Jules-Dominique Coiffier (1896-1905) — Adolphe Ravet (1905-1908) — Henri Boivin (1908-1925) — Paulus Fauconnier (1925-1929) — Paul Chappart (1929-1935) — André Boucher (1935-1947) — Pierre Imbault (1947-1975) — Jean Sébastien (1975-1989) — Michel Camblain (1989-1993) — Alain Maindron (1993-2014) — Yves Villate (2014-2024…).

Saint-Escobille en cartes postales

L/1034, n° 28 (abbaye de Port-Royal) — Avril 1233 ou 1234. Déclaration par laquelle Guillaume de Saint-Julien (de Sancto Juliano), chevalier, reconnaît avoir engagé à Port-Royal sa dîme de la paroisse de Sainte-Escobille, moyennant 65 livres parisis, et confirmation par Marie, sa femme, et Germond (Germundus) de Mareuil (Marolium), seigneur du fief, Germond et Guillaume du Val Saint-Germain (de Valle Santi Germani), chevaliers, et Étienne d'Yerres (Ierro) et Jean du Val Saint-Germain, écuyers, étant constitués garants, par devant Gautier, évêque de Chartres.

L/907, pièce 30, dossier 4 (possessions de l'abbaye Saint-Victor) — 1489. Sainte-Escobille (1 pièce).

P/8, n° 95 (chammbre des comptes de Paris) — 14 janvier 1579. Hommage de la justice haute, moyenne et basse des villages et paroisses de Sainte-Escobille, Paponville, Le Bereau, Dannemarie et Aubret, de la seigneurie dudit Paponville et de 18 septiers de terre au terroir d'Hérouville près ledit lieu du Bereau, mouvant d'Etampes, rendu par Pierre Le Venier, seigneur de Sainte-Escobille, conseiller du roi, président en la Chambre des comptes.

TT/269, dossier 15 (Archives des consistoires) — Partage d'avis concernant la chapelle de Saint-Claude située en en la maison que le sieur de Saint-Escobille possède à Guillerville (2 pièces).

Marianne Chardine, Roland Morano, Liliane Prisca-Morano, Émilie Gonnet, Isabelle Mitton-Famié, Marguerite Thion-Bourge, Stéphane Régnier et Laurent Villeret, “Saint-Escobille”, in Jean-Luc Flohic (dir.), Le patrimoine des communes de l'Essonne (2 volumes, 25 cm, 1053 p., illustrations, bibliographie pp. 1026-1053, index, ISBN 2-84234-126-0), Paris, Flohic, 2001, t. 1, pp. 239-240.

Collectif d'internautes, “Saint-Escobille”, Wikipédia, depuis 2005, en ligne en 2022.

Municipalité de Saint-Escobille, Site officiel, en ligne en 2022.