Allée couverte néolithique des Champs-Dolents.

Construction en 1312 d'un château par Geoffroy Coquatrix échanson du roi Philippe la Bel.

Occupation puis destruction par incendie du château lors du siège de Corbeil en 1590 par Alexandre Farnèse, duc de Parme.

Reconstruction du château en 1620 par Nicolas Thibeuf, nouveau seigneur du Val-Coquatrix.

Le château passe au XVIIIe siècle dans famille de Brétignières.

Le domaine est acheté au XIXe par Aymé-Stanislas Darblay, industriel de Corbeil et député qui construit le château actuel en 1846, resté dans sa famille jusqu'à nos jours.

Le 13 août 1944, un bombardier allié revenant d'un raid sur Corbeil s'écrase près de la ferme de Villouvette.

Jusqu'à la fin des années soixante, Saint-Germain-lès-Corbeil reste un village essentiellement rural et isolé d'environ 600 habitants.

Dans les années 1970, sous l'impulsion de Stanislas Darblay, élu maire en 1968, le paysage se transforme, de nombreuses terres agricoles sont envahies par des lotissements pavillonnaires.

La commune intègre la ville nouvelle de Melun-Sénart en 1973, avant de s'en séparer en 1983.

1793-2021 — Histogramme élaboré et mis en ligne par Wikipédia¹⁾.

Église Saint-Vincent-Saint-Germain (XIIe et XIXe siècle)

Ancien château disparu (remplacé par le suivant)

Château Darblay (XIXe siècle)

Berges de la Seine

Forêt

1. Jean-Baptiste Cousin (1790-1794) — 2. Jean-Louis Rabass (1791-1795) — 3. Charles Haquet (1795-1800) — 4. Gabriel-Joseph Masson (1800-1808) — 5. Charles-Paul Reant (1808-1810) — 6. Jacques-Georges de Joussineau (1810-1829) — 7. Stanislas Accart (1829-1837) — 8. Samuel-Augustin Nouette-Delorme (1838-1846) — 9. Louis-Michel Gandille (1846-1854) — 10. Aymé-Stanislas Darblay (1854-1879) — 11. Charles Béranger (1879-1885) —12. Paul Darblay (1885-1908) — 13. Charles Cœuret (1908-1919) — 14. Robert Darblay (1919-1968) — 15. Stanislas Darblay (1968-2000) — 16. Norbert Le Nigen (2000-2001) — 17. Jean-Pierre Marcelin (2001-2014) — 18. Yann Pétel (2014-204…).

Saint-Germain-lès-Corbeil en cartes postales

Vente de 1819 — Journal de Seine-et-Oise 23/2 (3 avril 1819) 8.

19960122/46 (Ministères chargés de la Construction, puis de l'Équipement; Direction de l'Urbanisme et de l'Architecture. Dossiers portant sur la création et la gestion des villes nouvelles, 1964-1986). — Dossiers de création de ZAD sur le territoire des communes d'Étiolles, Morsang-sur-Seine, Saint-Germain-lès-Corbeil, Saint-Pierre-du-Perray, Saintry-sur-Seine, Soisy-sur-Seine, Tigery, 1979 (…): ZAD et PRE-ZAD, préemption de la ZAD et création d'un nouveau périmètre de ZAD: notes et correspondance, plans.

20150605/72 (reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle). — Sécheresse et mouvements de terrains différentiels de l'été 2007 en Essonne: Bouray-sur-Juine, Saint-Germain-les-Corbeil, Saint-Yon, Saintry-sur-Seine et Savigny-sur-Orge.

Théodule Pinard, Mémoire historique et archéologique sur la commune de St-Germain-le-Vieux-Corbeil (Seine-et-Oise) (16 p., 21 cm), Wassy, Lerouge-Prignot, 1848.

Jean-Pierre Bourgeron et Élizabeth Grunberg, Le Hurepoix. 4. Corbeil-Essonnes, Saint-Germain-lès-Corbeil, Villabé (21 cm sur 22, 95 p., illustrations, ISBN 2-903097-03-8), J.-P. Bourgeron et C. Grunberg (“Regard sur la carte postale”), 1981.

Claudette Toulmonde et Laurent Villeret, “Saint-Germain-lès-Corbeil”, in Jean-Luc Flohic (dir.), Le patrimoine des communes de l'Essonne (2 volumes, 25 cm, 1053 p., illustrations, bibliographie pp. 1026-1053, index, ISBN 2-84234-126-0), Paris, Flohic, 2001, tome 2, pp. 910-914 et 925.

Collectif d'internautes, “Saint-Germain-lès-Corbeil”, Wikipédia, depuis 2005, en ligne en 2022.

Municipalité de Saint-Germain-lès-Corbeil, Site officiel, en ligne en 2022.