Traces d'occupation du site aux époques préhistorique, protohistorique et gallo-romaine.
Sépultures mérovingiennes au lieu-dit Les soixante arpents
Donation en 922, par le roi Robert Ier, de la paroisse Saint-Blaise de Ris, dédiée à Saint-Blaise à l'abbaye Saint-Magloire de Paris
Mention au XIIe siècle de Regis et d'Orengiacum.
Mention en 1159 d'une demeure seigneuriale à Ris 1159
Contruction au XIIe siècle l'église Saint-Blaise aujourd'hui disparue.
Donation en 1194 à l'ordre du temple d'une maison et terre à Orangis par trois frères, Fouques, Regnaut et Baudouin d'Orangis.
Édification au XIIIe siècle d'une commanderie et de sa ferme à Ris (rasées sous Louis XIV), biens dévolus en 1312 à l'ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem récupèrent l'ensemble des biens.
Construction au XVIIe siècle du château de Ris sur le site de la commanderie par Philippe de Lorraine.
Installation de l'Institut royal horticole de Fromont par Soulage-Bodin.
Construction au XVIIIe siècle du château d'Orangis par Charles-René de Bombelles.
Fusion en 1793 des communes de Ris et d'Orangis, sur le Plateau sous le nom de “Ris et Orangis réunis”, puis de “Bruthus et Orangis”, puis de “Brutus”, avant de redevenir Ris-Orangis en 1801.
En 1794 est guillotiné le dernier seigneur de Ris Étienne-Alexandre-Jacques Anisson-Dupéron.
En 1802, achat du château de Trousseau par le général Michel Ordener.
Construction en 1840 de la gare de Ris-Orangis
Construction en 1874 de l'aqueduc de la Vanne et du Loing, en particulier le long de l’ancien hippodrome.
Construction en 1907 est construite l’école Adrien-Guerton44.
Installation en 1915 d'un hôpital de geurre dans l'ancien collège des frères Marianistes.
Installation de 1918 à 1922 dans les mêmes locaux d'un sanatorium pour les cheminots
Installation en 1927 de l'hôtel de ville dans le château de Ris.
Construction en 1933 de l'école primaire Jules-Boulesteix.
Installation en 1946 de la la société Blédine-Jacquemaire.
Évolution démographique
1793-2021 — Histogramme élaboré et mis en ligne par Wikipédia1).
IGN (Institut géographique national), Évry-Corbeil-Essonnes. Partie de la feuille au 1:50.000 de Corbeil-Essonnes. 4e édition (1 feuille en couleur, 67 cm sur 99, échelle 1:25.000, projection conique conforme de Lambert, relief représenté par courbes de niveau, points cotés et estompage, E 2°20'16“- E 2°31'4”, N 48°46'51“- N 48°36'3”), Paris, IGN (“Série bleue”), 1981.
Anonyme, Évry — Ris-Orangis — Courcouronne — Bondoufle (plan de ville, 60 cm sur 52, échelle 1:12.500, E 2°34', N 48°38', notice de 19 cm et 11 p.), Société nouvelle des éditions et publicité (coll. “Plani-vert guide”), 1987.
IGN (Institut géographique national), Évry-Corbeil-Essonnes. Partie de la feuille au 1:50.000 de Corbeil-Essonnes. 6e édition (1 feuille en couleur, 67 cm sur 99, échelle 1:25.000, projection conique conforme de Lambert, relief représenté par courbes de niveau, points cotés et estompage, E 2°20'16“- E 2°31'4”, N 48°46'51“- N 48°36'3”), Paris, IGN (“Série bleue”), 1990.
Jacques Guyard, C'était en 1900. Bondoufle, Courcouronnes, Évry, Lisses, Ris-Orangis (27 cm, 149 p., illustrations, ISBN 2-903274-05-3), Paris, Association des éditeurs franco-genevois, 1985.
Max Duffar, Jean-Pierre Vinchon et Yann Rossignol, “Ris-Orangis”, in Jean-Luc Flohic (dir.), Le patrimoine des communes de l'Essonne (2 volumes, 25 cm, 1053 p., illustrations, bibliographie pp. 1026-1053, index, ISBN 2-84234-126-0), Paris, Flohic, 2001, tome 2, pp. 861-867.
Dictyographie
Collectif d'internautes, “Ris-Orangis”, Wikipédia, depuis 2005, en ligne en 2022.
Municipalité de Ris-Orangis, Site officiel, en ligne en 2022.
Sur la base de données empruntées, pour les années 1793-1999, au site du Laboratoire de Démographie et d'Histoire Sociale de l'EHESS, École des hautes études en sciences sociales; et, pour les années 2006 à 2021, au site de l'INSEE, Institut national de la statistique et des études économiques.
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